L’idée que l’eau est un bien commun et pas une marchandise est désormais largement partagée par les habitants et leurs élus.

Une idée qui reste un objectif dans le Sud Francilien  après plus de 120 ans de dépossession  des collectivités, de racket des usagers et de maltraitance de nos ressources par les multinationales.

L’année 2022 peut être l’occasion d’un formidable progrès, si la bataille engagée dans le sud de l’île de France pour une réappropriation publique des outils de production de l’eau potable  est couronnée de succès.

A l’heure où les négociations  pour la restitution des usines d’eau potables sont bloquées entre Suez (désormais Veolia-Suez) et les agglomérations du sud francilien (GOSB, GPS, CDEA,VYVS) la mobilisation citoyenne sera déterminante pour faire prévaloir enfin l’intérêt général.

Au-delà de la restitution des usines de production d’eau potable, cette initiative du 20 mars,  fera grandir l’idée que l’eau bien commun, est également pour nous une alliée précieuse dans la lutte contre le réchauffement climatique.

Cette manifestation intervient en avant-première de la Journée Mondiale de l’eau décrétée par l’O.N.U. qui aura lieu le 22 mars 2022, et dans le cadre du printemps de l’eau et du printemps  des services publics.

Initiée par la coordination Eau Île-de-France , les associations Eau publique Orge-Essonne et Aggl’Eau communauté Paris-Saclay, elle est soutenue par le collectif inter-associatif et syndical  « Plus Jamais Ça 91 ».

Vous trouverez ci-dessous le flyer diffusé par les organisateurs :

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