Les axes principaux et leurs points noirs

D’abord, par le nord, l’axe constitué par le chemin des Pâtures, la rue de Valorge et la rue des Prés d’Aulnay est trop fréquenté, parce qu’il représente un chemin direct, depuis la Francilienne, de Brétigny à Saint-Germain et Arpajon. Or, cette voie est trop étroite, longe l’Orge parfois de très près, comporte des sinuosités parfois sans visibilité et est fréquemment inondée. Dans ces conditions, elle doit servir essentiellement pour la desserte locale, ce qui permettrait d’y aménager une piste cyclable, une fois réglé le problème d’écoulement des eaux pluviales.

Par le nord également, l’axe de pénétration vers le centre ville que sont la rue Léon Blum, l’avenue des Marronniers et la rue de la Mairie , est stoppé par la rue Danielle Casanova qui est en sens unique inverse : la seule issue se fait donc vers le sud par la rue du Général Leclerc.

La rue de la Mairie est en sens unique, ce qui est normal, puisque sa largeur est et restera insuffisante. Par contre, il est nécessaire de changer le côté du stationnement pour permettre aux autobus de s’arrêter le long du trottoir et non au milieu de la rue.

Pour aller vers l’est et vers Plessis-Pâté ou la RD 19, les véhicules venant de la rue Léon Blum ou de la rue Salvador Allende peuvent prendre le pont de l’avenue du 19 mars 1962, en sens unique, puis la rue Henri Douard.

Autre axe : les rues du Docteur Babin, Brossolette, Lucien Clause, du Parc, des Halliers, Ernest Ducrot . La rue du Docteur Babin, jadis trop fréquentée et à grande vitesse par les poids lourds notamment, a été réorganisée depuis longtemps avec des sinuosités, des chicanes de stationnement et des feux. Elle ne semble pas appeler de modifications. En revanche, la rue du Bois de Châtres, qui lui est parallèle, demande des ralentisseurs de vitesse (stops, chicanes ou autres), ce qui éviterait les accidents, trop fréquents.

Le pont dit « du cinéma », qui relie les deux côtés de la ville, a été mis en sens unique et permet ainsi de sortir du centre-ville, mais non d’y entrer. Pour ceux qui viennent du nord ou de l’ouest, l’entrée vers le centre-ville se fait donc par le pont de l’avenue du 19 mars 1962, en sens unique, puis par la rue Henri Douard., ou par la rue de la Mairie et son tunnel. Toutefois, une partie de l’ouest de Brétigny se rabat de façon importante sur le pont d’Essonville pour ne pas avoir à faire un grand détour (par exemple, pour aller au centre commercial). Le rétablissement du double sens du pont du cinéma allègerait le pont trop étroit d’Essonville ; on ne reviendrait pas cependant à la situation antérieure, car la rue de la Mairie garderait son sens unique en direction du centre. Le pont du cinéma resterait, en outre, protégé par le bas de la rue Pierre Brossolette, qui pourrait rester en sens unique nord-sud. Il convient toutefois d’examiner la difficulté qui pourrait résulter de ce changement pour la sortie du centre vers l’ouest. A signaler, à ce propos, que des cyclistes empruntent à vélo le mini-trottoir du pour se rendre au centre-ville.

Le pont d’Essonville , à double sens, est un point noir très important : il est trop étroit tant pour les piétons que pour les voitures. Il paraît impossible de le mettre en sens unique, comme l’a démontré l’expérience passée. Les voitures doivent s’y croiser avec précaution, et il a fallu mettre des portiques limitatifs de hauteur, ce qui n’empêche pas des fourgonnettes, trop importantes en largeur, de se mêler à la circulation. C’est aussi un passage à niveau et, aux heures de pointe des trains et des voitures, il se forme souvent des queues de voitures arrêtées au feu rouge de la rue Jacques Denis et aux barrières du passage à niveau. Espérons que l’une des voitures ne se trouvera pas bloquées sur la voie au moment où les barrières s’abaisseront.

Les trottoirs sont exceptionnellement étroits pour les piétons, et ceux-ci peuvent même être heurtés par les rétroviseurs des véhicules qui sont obligés, en se croisant, de frôler le trottoir. Et nous ne parlons pas des voitures d’enfants ! Enfin, il faut ajouter que les enfants habitant à l’ouest de Brétigny et allant au collège ou au lycée, doivent franchir ce pont tous les jours pour aller à l’est. En conséquence, le projet, annoncé par la municipalité, de faire procéder, en 2003, à son élargissement, notamment pour faciliter la circulation piétonnière, ne peut que nous réjouir.

Faisant suite au pont d’Essonville, la rue Alfred Leblanc , malgré son étroitesse, fait partie actuellement des « grands axes » dans la mesure où elle co,nstitue le chemin le plus court pour aller au centre-ville depuis le pont d’Essonville. Toute la partie sud-ouest de Brétigny passe par là. Résultats : les habitants de la rue sont « coincés » dans leurs pavillons dont ils ne peuvent sortir qu’avec d’infinies précautions ; les trottoirs sont dangereux pour les piétons, nombreux à descendre vers la gare ou à en remonter ; pour que les voitures ne roulent pas trop vite, on a installé des chicanes de stationnement et une piste cyclable sinueuse et discontinue que n’emprunte aucun cycliste.

Il y a ici matière à réflexion : était-il opportun de faire de cette rue un grand axe de pénétration ? Pourquoi a-t-on bouleversé aussi la rue de Cossigny ? A certaines heures, l’école qui se trouve en bas de la rue Alfred Leblanc crée un goulot d’étranglement. Faut-il inverser le sens unique ? Faut-il recréer un débouché rue Camille Hébert en la changeant de sens ou bien en la remttant à double sens ? Ou faut-il ouvrir la rue Rochebrune, actuellement en impasse ? Mais l’axe venant du sud et qui est constitué par l’avenue de la Commune de Paris, l’avenue Rozanof, l’avenue Edouard Branly, l’avenue Maryse Bastié et l’avenue Jean Mermoz n’est-il pas le plus large, et donc le plus approprié, pour draîner la circulation vers le centre-ville d’une part, et vers Plessis-Pâté, d’autre part ?

En tout cas, il n’est pas possible de laisser la rue Alfred Leblanc et, sans doute, la rue de Cossigny dans leur état actuel.

La circulation dans les quartiers

Examiner la circulation dans les quartiers, c’est examiner :

  • les problèmes de cheminements internes avec ou sans véhicule ;
  • les moyens de communication dans le quartier ou hors du quartier avec les équipements publics (scolaires, sportifs, commerciaux, administratifs, culturels…)
  • l’opportunité du développement du transport collectif urbain,
  • le développement particulier des circulations douces.

1- Chemin des Pâtures

Actuellement la voie est étroite et sinueuse, n’a pas de trottoir. Elle sert, avec son prolongement rue de Valorge et rue des Prés d’Aulnay, de voie de transit entre la Francilienne et Saint-Germain les Arpajon et Arpajon. Le stop a l’intersection avec la rue de l’Orge est peu respecté, bien qu’il contribue quand même à ralentir un peu la vitesse.

Proposition  : mise en sens unique depuis le rond point des Daumônes près de la Francilienne (interdit dans le sens Francilienne-Carouge) jusqu’à la rue de l’Orge (compte tenu des dérogations réglementaires), et mise en place d’une piste cyclable.

2- La Fontaine

Carrefour Léon Blum, rue de l’Orge, rue des Peupliers, rue des Platanes et avenue du Château La Fontaine  : Ce carrefour est bloqué à certaines heures et dangereux. Les véhicules venant du bas de la rue L. Blum pour tourner à gauche manquent de visibilité en direction des véhicules venant de la rue du Château La Fontaine

Proposition  : mise en place d’un rond-point dont la faisabilité doit être étudiée (voir croquis en annexe n° 1)

Rue Ducrot  : Voie en sens unique et à trottoir unique et étroit en sa partie médiane, très fréquentée par les piétons à certaines heures.

Proposition  : élargissement du trottoir. Dans ce cas se pose le problème de la sécurité des cyclistes. Une solution radicale serait de la réserver aux piétons et cyclistes en remettant le haut de la rue de la Mairie à double sens. Mais se pose le problème de l’accès des quelques foyers habitant la partie basse de cette rue.

Une autre solution pourrait consister à baliser correctement un itinéraire piétonnier allant de la gare au quartier La Fontaine en empruntant l’itinéraire suivant : la ruelle du chemin de fer, à droite la rue de la mairie jusqu’à la ruelle Saint-Pierre, puis à gauche la rue du Guet, la rue du 19 mars 1962 et le pont La Fontaine. Sur cet itinéraire, un peu tortueux quoique pas plus long que celui passant par la rue Ducrot, les voies utilisées ont peu ou pas de circulation. Mais cet itinéraire exigerait en certains points (rue de la mairie) une sécurisation et il y faudrait un balisage original pour inciter les habitants du quartier La Fontaine à l’emprunter.

Rue Léon Blum  : Trop souvent fréquentée par des poids lourds qui se rendent vers la zone industrielle par le centre ville.

Proposition  : Il faut interdire cette voie aux poids lourds (sauf dérogations) en plaçant un panneau de limitation aux 3,5t bien visible à l’entrée de la rue et demander à la DDE de placer un grand panneau sur la Francilienne indiquant que l’accès à la zone industrielle de Brétigny se fait à la sortie 39. Et verbaliser systématiquement toute contravention.

Carrefour rue Léon Blum-rue des Figuiers  : Dans une partie en pente et en virage, il est très fréquenté par les enfants.

Proposition  : Ralentir les voitures par des bandes rugueuses et des panneaux lumineux avertissant de la traversée d’enfants. Si la mesure s’avère insuffisante, création de feux tricolores pour protéger la traversée.

3- Rosière

Rue S. Allende  : Cette rue étroite et sinueuse est en zone 30. Les trottoirs étroits sont de plus encombrés de poteaux.

Proposition  : Renforcer l’incitation à respecter le 30 à l’heure, notamment par des bandes rugueuses. Aménager d’autres traversées pour piétons et supprimer ou mettre en potence les poteaux gênants. Installer un panneau, à la sortie du rond-point d’accès, interdisant l’entrée aux poids lourds de plus de 3,5 t. Interdire le passage des véhicules dans le chemin de Rosière, qui doit être réservé aux engins agricoles et aux piétons.

4- Bellevue-Carouge

Carrefour rue de la Mairie-rue des Halliers-rue Ducrot  : Dangereux pour les piétons et mal commode pour les automobilistes en sortie de la cité Ducrot.

Proposition  : Mise en place d’un rond-point.

Carrefour rue des Halliers-rue J. Marquis-rue du Parc  : Traversée difficile et dangereuse pour les piétons, principalement à mobilité réduite, en raison du non respect de la priorité piétons par les véhicules qui tournent et, surtout, du manque de visibilité.

Proposition  : Modifier la durée du feu pour donner le temps aux piétons de traverser . Autre solution : réaménager le carrefour en prenant une portion relativement minime du jardin de la propriété située face aux poteaux, de façon à permettre aux automobilistes de voir les piétons.

Rue des Halliers  : Trottoirs étroits et non bitumés côté ouest, encombrement par les poteaux.

Proposition  : Elargir les trottoirs et les bitumer. Déplacer les poteaux souvent placés en plein milieu de ces derniers.

5- Butte Saint-Pierre

Ce quartier à l’individualité bien marquée souffre d’enclavement et d’une forte pente. C’est un quartier d’habitation mais aussi de services : cimetière, église, salles de réunion, centre de loisirs… Le stop au niveau de la rue M. L. King est mal respecté. La difficulté à circuler est accrue par le stationnement de véhicules.

Proposition  : Instaurer un sens unique partiel de la rue Saint-Pierre depuis la seconde entrée de la rue M. L. King et un stationnement unilatéral. Augmenter le nombre de places de parking. Mettre des feux en alternance à l’entrée du pont de La Fontaine et au croisement de la rue du Guet de Saint-Pierre et de la rue du 19 mars avec virage à autorisé.

6- Joncs Marins

Chemin des Chéneaux  : Chaussée étroite avec ralentisseurs (buses) inesthétiques et absence d’éclairage.

Proposition  : Mise en zone 30 balisée et aménagée en conséquence, avec sens unique, réalisation de trottoirs et éclairage public.

Rue du Bois Badeau  : Chaussée en mauvais état.

Proposition  : Refaire la chaussée et réaliser un trottoir.

Chemin de la Mare aux Pigeons  : Chaussée étroite, sans espace pour le passage des piétons et des cyclistes, virage dangereux avec accidents fréquents, circulation de bus et d’engins agricoles

Proposition  : Elargir la voie, aménager et sécuriser le carrefour Mare aux Pigeons/Alcyme Bourgeron, réaliser un trottoir et une bande cyclable..

7- Cendrennes

Rue du Bois de Châtres  : Vitesse excessive des voitures malgré les « cédez le passage ».

Proposition  : Bandes rugueuses et autres moyens dissuasifs (remplacer les cédez le passage par des stops ?).

Rue Babin  : Les aménagements récents ont grandement amélioré la situation, mais la rue est de plus en plus fréquentée par des poids lourds.

Proposition  : Guider les poids lourds en transit vers d’autres itinéraires.

Carrefour rue Babin-rue Danaux  : Trottoirs étroits encombrés de poteaux.

Proposition  : Elargir les trottoirs et déplacer les poteaux.

8- Quartier Jean Rongière

Rue de la Saussaie  : Chaussée en mauvais état et dangereuse.

Proposition  : Refaire le revêtement et aménager un trottoir

Rue Jean Rongière  : Vitesse excessive des véhicules, trottoirs parfois très étroits, écoulement des eaux déficient.

Proposition  : Limiter la vitesse par des moyens appropriés, prévoir des trottoirs suffisants et une bonne évacuation des eaux.

Carrefour rue Rongière-pont d’Essonville  : Virage en épingle difficile, circulation importante.

Proposition  : Aménager le carrefour en l’élargissant, assurer la sécurité des piétons et des cyclistes.

9- La Moinerie

Carrefour boulevard de France-avenue de la Commune de Paris  : Difficulté pour tourner à gauche vers le parking et encombrements afférents.

Proposition  : Élargir la chaussée et aménager un décrochement (en prenant sur le trottoir ?)

Feux sur l’avenue de la Commune de Paris à hauteur des écoles  : Les feux fonctionnent 24h sur 24.

Proposition  : Ne peut-on les faire passer en clignotant durant la nuit ?

Avenue de la Commune de Paris  : Insuffisance de passages piétonniers balisés pour traverser la rue vers le sud de l’avenue.

Proposition  : Matérialiser des passages supplémentaires.

Avenue de la Commune de Paris-rond point Centre Essonne  : Encombrement de la chaussée par des poids lourds dont les chauffeurs consultent le panneau de renseignements.

Proposition  : Aménager un espace de stationnement suffisant.

RD 19  : Cette voie très passante est en conséquence bruyante.

Proposition  : Aménager, à l’occasion du doublement, un merlon planté de hauteur suffisante pour isoler les résidences voisines (mais cela relève, semble-t-il, de la responsabilité du Conseil général qui, nous dit-on, aurait prévu la chose).

10- Bois de Vétille, 80 arpents

Carrefour rue A. Camus, rue H. Douard , rue Danielle Casanova, rue Jean Mermoz  : Très fréquenté par les collégiens et lycéens, les cyclistes (le week-end), et aussi par les automobilistes (piscine, stade, centre culturel et débouché de la rue du 19 mars 1962), car l’axe Albert Camus-Danielle Casanova est une départementale qui permet, dans un sens, la pénétration vers le centre ville, dans l’autre, la sortie vers Plessis-Pâté et la Francilienne, alors que l’avenue Jean Mermoz ouvre l’accès à la RD 19. En outre, la durée des feux rouges est trop courte pour permettre aux piétons de traverser.

Proposition  : Allonger la durée du feu et prévoir une traversée protégée en déplaçant l’arrêt de bus côté Plessis-Pâté. Pourquoi ne pas étudier l’aménagement d’un rond point, comme en amont et en aval, ce qui aurait pour effet de fluidifier la circulation, mais en prévoyant les aménagements nécessaires à la sécurité des piétons ? La réalisation de la ZAC Collenot, qui prévoit le débouché de la rue Collenot directement sur ce carrefour serait l’occasion pour l’aménagement d’un tel rond-point.

Avenue Beau de Rochas  : La traversée en est pratiquement impossible malgré les passages matérialisés, en raison de l’intensité du trafic et de la vitesse des voitures.

Proposition  : poser des bandes rugueuses.

Avenue C. de Gaulle  : La traversée des nombreux lycéens et collégiens venant des 80 arpents n’est pas protégée alors que celle de ceux venant du bois de Vétille l’est.

Proposition  : Mettre des feux pour sécuriser le passage des piétons.

Rue M. Dassault  : Le début de cette rue est dangereux, difficulté pour sortir à gauche vers Brétigny centre (face au dojo) et trottoir inexistant à hauteur du garage Citroën.

Proposition  : Élargir le trottoir et aménager le carrefour.

Rond point Mermoz  : Encombrement par les véhicules au voisinage des commerces.

Proposition  : Prévoir des places de parking supplémentaires et/ou inciter les clients à se rendre à pied à ces commerces de proximité, peut-être par des aménagements appropriés.

Ecoles  : Ce quartier ne bénéficie que d’une école maternelle et pas d’école primaire.

Proposition  : Construire une école primaire dans le quartier ou aménager des cheminements piétonniers en continuité vers le centre ville.

11- Centre Ville

Rue A. Leblanc  : Circulation intense et vitesse parfois excessive, danger permanent pour les piétons et les cyclistes.

Proposition  : Faire table rase des actuels aménagements et repenser totalement l’ensemble, qui doit être mis en zone 30. Il faudra prendre en compte, dans cette réflexion, les projets de la ZAC Collenot et de l’urbanisation de la gare. De nouvelles voiries apparaîtraient le long de l’Eglise Saint-Paul et de l’école Jeanne d’Arc

Place de la Gare  : Cette place, qui se termine en cul-de-sac ! est inadaptée au trafic actuel, inesthétique et dangereuse pour les piétons

Proposition  : Reconsidérer l’aménagement de ce secteur dans son ensemble (dans le cadre du comité de pôle de la gare dont nous souhaitons être partie prenante, et de la ZAC Collenot), malgré les difficultés accrues découlant de l’urbanisation récente. Tout devra être fait pour supprimer ce cul-de-sac. Piétons et cyclistes devront, en outre, y recevoir un traitement privilégié, de même que les transports en commun.

Rue de la Mairie  : Rue étroite avec passage de bus et descente dangereuse sur la chaussée.

Proposition  : Changer le côté du stationnement de façon à protéger les passagers descendant des bus, et débarrasser les trottoirs de ce qui les encombre.

Rue du Marché couvert  : rue bordée de larges trottoirs, constamment encombrés de véhicules et, au niveau du restaurant, de poubelles empêchant le passage des piétons qui doivent emprunter la chaussée.

Proposition : Refaire les trottoirs de part et d’autre en les aménageant afin de créer des places de stationnement en nombre limité. Imposer au restaurant qui borde cette voie la construction d’un local à poubelles. En profiter pour aménager la partie piétonnière afin de la rendre accessible aux personnes à mobilité réduite et utilisable par elles.

12- Zone commerciale et industrielle de Maison Neuve.

– Le cheminement piétonnier en direction de Maison Neuve est continu seulement sur un côté de l’avenue de la Commune de Paris. Il serait bon de le prévoir des deux côtés ainsi que d’assurer une continuité des parcours piétons en direction des différents commerces existants ou qui s’installeront sur cette zone.

– L’accès au parking du nouveau centre commercial à droite de l’avenue vers le sud est décalé par rapport au rond point juste après la ferme de Maison Neuve. Pourquoi ne pas le faire sur le rond point lui même ce qui éviterait un virage à gauche des automobilistes sortant du parking d’Auchan.

– Il est nécessaire de prévoir une signalétique appropriée et efficace s’adressant aux poids lourds qui cherchent à rejoindre les divers entrepôts afin qu’ils ne s’engagent pas sur l’avenue de la Commune de Paris et entrent dans Brétigny avec les difficultés de faire demi tour qui s’ensuivraient.

– Un accès piéton sécurisé au Bois de Beaulieu rendrait moins problématique la traversée du RD 19.

– La rue de la Desserte Industrielle a vu son trafic augmenter de façon importante. La voirie est en mauvais état, il n’y a pas de trottoir.